Boston Saison IV : Le Fléau (Années 30) épisode 7

Nous retrouvons Sir Hallister et John MacNujayte dans cette chambre d'hôtel à Paris. Alors que la musique s'est arrêté, Hallister annonce à John MacNujayte que les gardiens sont finalement sorti de Venise?

John : Il y a une chute à ton histoire? Parce qu'excuse moi mais l'intro elle est comme ça!

Hallister : Il fallait bien remettre le contexte dans l'état pour que tu comprennes bien à qui nous avons à faire et surtout qui dirige ces choses.

John : Si tu parles de ces créatures qu'on a pu voir je croyais que c'était les Hyksos qui étaient derrière tout ça.

Hallister : Justement les Hyksos ont pendant un temps, habiter l'île de Veccio, où nos gardiens ont retrouvés le livre

John : Ouais et ils ont essayé de l'ouvrir et pouf, au revoir le bras du père Fransesco.

Hallister : Peux-tu prendre au sérieux ce que je dis pour une fois? Cesse donc ce narciscisme

John : Ouais excuse moi mais bon... Quand t'as dit que y avait des formes noires  humanoïdes qui continuaient d'avancer malgré les blessures qu'elles avaient, là pardon mais scientifiquement c'est pas possible! Enfin soit peux-tu me faire un petit résumé depuis le moment où l'inquisiteur a quitté le groupe?

Hallister : Très bien... Mère Marie Clothilde, Roland et Szilas étaient revenus à Venise. L'inquisiteur Lorenzo les a quitté afin de s'entretenir avec l'évèque de Vénétie au sujet du mal qui ronge la ville. Il doit également s'enquérir de l'endroit où il doit cacher le livre et obtenir une garde suffisante pour s'assurer de la sécurité de l'ouvrage. Les protagonistes se sont donnés rendez vous dans quelques jours aux abords de Trévise, une cité au nord de Venise. En attendant la mère et les deux chevaliers ont décidés d'enquêter sur l'ouvrage. Mère Marie Clothilde a proposé de voir une de ses connaissances, le Père Fransesco de l'ordre des Franciscains.

A l'église San Giovanni, les deux chevaliers ainsi que la mère ont eu la désagréable sensation d'être observé. L'atmosphère était lourde, il paraissait évident à l'époque, que Lucifer s'était installé dans la cité. Le livre était scéllée par une serrure florentine réputé pour son extrême dangerosité. Sur la couverture de ce livre, le père Fransesco découvrit le symbole de la confrérie des moines dans les pyrénnées...

John : Attends... Je me souvient pas de ce détail?

Hallister : Retiens le bien, il aura son importance par la suite.... Le père Fransesco a donc crocheté la serrure, le loquet cède. Le père ouvrit le livre et un déclic léger, l'aiguille qui a traversé sa peau. Des ombres qui sont apparu au fond de la bibliothèque, des bruits de pas claquent le sol. Mère Marie Clothilde et les deux guerriers, fuirent vers la sortie de la basilique. Les formes les suivirent sans que rien ne puisse les ralentir. Les gardiens se sont enfermé alors dans la commanderie hospitalière. Malgré les barricades les ombres entrèrent et tuèrent toutes les personnes en travers de leur chemin. Elles semblaient invincible, aucunes épée ne pouvaient les transpercés puis plus rien...

John : et arrive le fameux Francis! et la bataille pour sortir de Venise ça je me souvient. Je me souviens surtout que l'un des chevaliers s'est prit beaucoup de blessures. D'ailleurs j'imagine qu'il est mort sur la route menant à Trévise?

Hallister : Non, ce chevalier avait plus d'un tour dans son sac. Il a réussi à survivre jusque Trévise.

John : Mais pas une fois arrivé?

Hallister : Laisse moi t'expliquer ce qui est arrivé...

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Vous marchez depuis maintenant plusieurs heures. Vous avez quitté Venise depuis quelques temps. Vous entendez encore derrière vous le cri des mourrants. Une quantité de personnes qui vous suivent, qui ont réussi à franchir les lignes que les seigneurs aux alentours de Venise avaient placés pour empêcher les survivants de la cité de s'échapper et de contaminer l'Italie. Toi Roland tu as écrit un compte rendu pour le pape en Avignon. Tu as adressé à Angelo Correr, l'un des frères hospitaliers, le message. Il est parti seul de son côté en route vers Avignon.

Quant à vous, vous êtes toujours sur la route de Trévise. Frère Szilas marche difficilement il a été gravement blessé. Vous arrivez à quelques centaines de mètres, en vue de la cité de Trévise au Nord de Venise. Aux abords de la cité, un grand campement : des tentes, des oriflammes, des hommes d'armes qui accourent vers vous, quelques dizaines. Ils arrivent :

Homme d'arme : Ola! Que se passe-t-il ici?!

Ils ont tous dégainés leurs armes. puis ils vous regardent

Homme d'arme : Ah, chevalier du Saint Siège, Ma mère, Frères Hospitaliers... Que se passe-t-il ici, on a entendu des tirs de couleuvrines venant de Venise!

Que faites vous?




Tour de Table :

Roland : PV : 35/70 /// SM : 36/50
Szilas : PV : 18/70 /// SM : 43/55
Marie-Clothilde : PV : 50/50 /// SM : 40/70

- Venise... Venise est probablement perdu... Prise par le Malin et sa noire corruption...

Je désigne le frère Szilas.

- Nous avons besoin de soin...

- Le barrage de Venise a été forcé... la population de la ville se déverse dans la campagne italienne. Il y a sans doute des pestiférés dans le lot mon frère... Pouvons nous passer?

Juste est ce que ces hommes d'armes ont un insgine en particulier?

Marie Cltohilde, tu vois pas spécialement d'insigne particulière. Tu vois juste sur leur tabard le signe de la papauté.

Szilas tu préviens l'homme d'arme qu'il y a sans doutes des pestiférés dans la foule il te dit

Homme d'armes : Très bien! Arbalétriers, abattez les tous!

Il vous désigne tout les trois et dit

Homme d'armes : Vous trois vous pouvez passer, vous êtes des hommes du Saint Siège.

Il redonne l'ordre à ses arbalétriers, qui n'ont pas l'air en joie d'exécuter son ordre

Homme d'armes : Vite arbalétriers! Abattez les tous jusqu'au dernier!!

Que faites vous?




Tour de Table :

Roland : PV : 35/70 /// SM : 36/50
Szilas : PV : 18/70 /// SM : 43/55
Marie-Clothilde : PV : 50/50 /// SM : 40/70

Je m'approche des arbalétriers.

- Croyez moi... Il faut éviter que le mal se propage à tout prix !

Je remercie l'homme d'arme d'un signe de tête.

- Arrêtez vous mon brave! Peut-être faut-il simplement mettre en place un barrage à l'entrée de la ville et inspecter chacunes des personnes qui veulent rentrer et s'assurer qu'ils ne sont atteint d'aucune maladie?

- Le Saint Siège d'admettrait pas qu'on puisse tuer tout les gens qui viennent de Venise!

Je parle à Roland et son indifférence par rapport à la situation et je dis

- Mais ils vont tuer tout le monde mon frère!

Szilas le chef te réponds

Homme d'armes : Ce sont les ordres du Saint Siège. Passez mon frère!

Marie Clothilde il se tourne vers toi et dit

Homme d'armes : écoutez, Dieu reconaîtra les siens. Maintenant passez. Rentrez dans le campement sinon on vous laisse dehors également!

Il commande à ses arbalétriers

Homme d'armes : Allez-y en avant!

Vous voyez de chaque côté une rangée d'arbalétriers, plusieurs dizaines qui s'avancent pas après pas, qui tournent la manivelle de leurs armes, qui la chargent et qui visent la foule! Foule qui avance lentement vers eux... Les premiers carreaux claquent, les passants s'écroulent les uns après les autres.

Roland tu n'es absolument pas choqué par ça.
Szilas tu perds... 3 points de santé mentale
Marie Clothilde tu perds... 9 points de santé mentale

Que faites vous?




Tour de Table :

Roland : PV : 35/70 /// SM : 36/50
Szilas : PV : 18/70 /// SM : 40/55
Marie-Clothilde : PV : 50/50 /// SM : 31/70

Je m'avance sans me retourner.

- Que Dieu est pitié d'eux...

- Ma mère... Si le saint siège a ordonné que tout ces hommes meurent... ils doivent mourir.

je demande au chef

- Mon frère avez vous un infirmier ou quelqu'un qui puisse me soigner?

- Ecoutez je suis vraiment très choquée! Roland vous aviez des amis parmis ces gens qui voulaient rentrer. Le saint siège n'a pas pu ordonné une telle chose, il n'a pas eu le temps. Nous sommes sorti de Venise il y a à peine quelques heures!

Szilas l'homme d'arme te dis

Homme d'armes : Oui bien sur au campement nous avons un infirmier qui pourra vous prendre en charge

Il regarde ta jambe et dis

Homme d'armes : Ah oui effectivement, sale blessure! Dépêchez vous, vous rentrez au milieu du camp et à peu près vers la droite vous allez voir une grande tente et c'est ici que se trouve l'infirmerie.

Il dit aux arbalétriers

Homme d'armes : continuez de tirer!!!

Vous pénètrez donc dans le camp, les hommes d'armes s'affèrent en tout sens. Ils se dirigent vers l'entrée du camp, de plus en plus d'arbalétriers, des lanciers qui se préparent à repousser le flot des assaillants. En face de vous un homme que vous reconnaissez, il vous regarde approcher et s'approche de vous! C'est l'inquisiteur Lorenzo, vous le voyez avec les traits quelques peu tirés, comme s'il n'avait pas dormi depuis quelques jours, depuis que vous vous êtes quittés.

Que faites vous?




Tour LIBRE :

Lorenzo : PV : 48/65 /// SM : 27/55
Roland : PV : 35/70 /// SM : 36/50
Szilas : PV : 18/70 /// SM : 40/55
Marie-Clothilde : PV : 50/50 /// SM : 31/70

- Mes frères, ma soeur! Quel joie de vous retrouver!

- Seigneur Lorenzo ? J'avais parié sur votre mort... Heureux de vous voir.

- Frère Lorenzo, vous êtes ici?

- Ah inquisiteur! Je suis curieux de savoir ce qui vous est arrivé pendant votre absence?

- Je suis allé sur les traces de l'inquisiteur Ildegard et j'ai découvert le lieu d'origine de création du livre d'Eibon! C'est dans un monastère dans les Alpes! Et nous pouvons y aller je connais un évèque la bas qui a pris le contrôle de ce monastère. Le père Bernard et vous que vous est-il arrivé?

- C'est bien long à raconter. Ma mère vous pouvez peut-être décrire les évènements vu que vous étiez à l'arrière ligne. Sur ceux mon frère, veuillez m'excusez mais... Je dois me soigner.

- Nous avons vécu des événements... Perturbants... Nous avons affronté des hordes de créatures du Malin avant de forcer le barrage de Venise. Beaucoup sont morts...